Prévention du cancer de la peau: Lunch & Learn sur le thème du mélanome

La Suisse est l’un des pays au monde où le taux de mélanome est le plus élevé. Bien que l’âge moyen au moment du diagnostic soit de 65 ans, le mélanome est en même temps l’un des cancers les plus fréquents chez les jeunes adultes de moins de 30 ans, en particulier chez les femmes.

«En tant que l’un des leaders mondiaux dans le domaine de l’oncologie, nous considérons qu’il est de notre responsabilité d’informer sur le cancer et les possibilités de prévention.»

• Il existe différentes formes de cancer de la peau. Le mélanome est la forme la plus grave.
• Les mélanomes peuvent se développer non seulement sur la peau, mais aussi, par exemple, dans l’œil ou dans les muqueuses.
• Le principal facteur de risque de mélanome est l’exposition aux rayons UV avec coups de soleil, notamment pendant l’enfance et l’adolescence.
• D’autres facteurs de risque sont, entre autres, un grand nombre de grains de beauté, des antécédents familiaux, une vulnérabilité génétique et un système immunitaire affaibli.

«Plus le diagnostic est posé tôt, meilleur est le pronostic. Il est important de contrôler régulièrement la peau.»

Werner a ce que l’on appelle un mélanome “caché”. Chez lui, la tumeur s’est développée vers l’intérieur sans aucun signe extérieur. Lorsqu’on lui a diagnostiqué un mélanome, il était temps de le traiter. Lors du Lunch & Learn, il s’est entretenu avec Nadia Pellanda, Director EUCAN Oncology Policy. Son histoire est consignée ici.

«En fait, je ne savais rien sur le mélanome avant de tomber malade.»